Les créanciers n'ont pas encore donné le feu vert au dividende social de Tsipras

Les institutions créancières de la Grèce n'ont pas encore donné le feu vert à la distribution d'un dividende social de 1.400 millions d'euros annoncé lundi soir par le Premier ministre hellénique, Alexis Tsipras.

Athènes, le 14 novembre (EFE) .- Les institutions créancières de la Grèce n'a pas encore donné le feu vert de distribuer un dividende social de 1400 millions d'euros annoncés lundi soir pour la première Le ministre hellénique, Alexis Tsipras.

Selon des sources européennes au journal économique grec Naftemporiki, les détails de cette distribution sont actuellement discutés, et bien que le Les propositions "en général semblent être en ligne" avec ce qui a été négocié, les consultations sont toujours en cours.

"Les annonces (de Tsipras) devraient être étudiées et le débat avec les autorités devrait "L'un des points annoncés par Tsipras qui suscite encore des réserves est, selon la même source, le transfert de 360 �??�??millions d'euros à Société d'électricité DEI afin que vous puissiez continuer à garder la facture vers les ménages à faible revenu.

Les créanciers craignent qu'il pourrait constituer une subvention indirecte pour partie de l'Etat, qui est interdite par la législation communautaire.

Tsipras a annoncé hier soir dans une adresse télévisée qui n'avait pas été prévue pour distribuer 1,400 millions d'euros Sur ce total, 720 millions d'euros seront distribués en aide extraordinaire à 3,4 millions de citoyens revenu annuel inférieur à 9 000 euros bruts (le double pour les familles).

L'aide se situera entre 250 et 900 euros selon les revenus des bénéficiaires.

Autres 315 millions seront utilisés pour indemniser les retraités qui ont payé des cotisations d'assurance maladie excessives de 2012 à 2016, contributions qui doivent être retournées selon un avis récemment, la Cour administrative suprême.

Tsipras a expliqué que ce "dividende social" a été rendu possible grâce à l'amélioration de l'économie du pays et du "travail intense et difficile" de réduire les dépenses publiques sans réduire les salaires et les avantages sociaux «ainsi que pour lutter contre la corruption, le gaspillage et l'évasion fiscale ». Pour la première fois

» dans une dizaine d'années l'économie il va enregistrer une croissance proche de 2% ", a affirmé le Premier ministre, dans un discours dont les réactions de la part de l'opposition n'ont pas été portées à l'espoir.

La principale force de l'opposition, la Nouvelle Démocratie conservatrice, a soutenu que le dividende promis par Tsipras sera au détriment des classes moyennes, et ne constitue qu'une petite quantité en comparaison avec les millions de euros a « volé » le peuple par des augmentations d'impôt, qui « a détruit la classe moyenne et a encore appauvri les pauvres ».

Cependant, la Nouvelle Démocratie a annoncé aujourd'hui qui votera en faveur du dividende social lorsque le projet de loi est présenté au Parlement.

Le gouvernement estime que cette année le surplus primaire sera d'environ 3% du produit intérieur Gross, qui dépasse de loin les prévisions de 1,75% dans le programme de mesures associées au troisième plan de sauvetage du pays.

Une partie de cet excédent sera utilisé, comme l'a souligné aujourd'hui presse économique, de créer une réserve de trésorerie pour préparer les sorties suivantes pour tester les marchés financiers et d'avoir un coussin de sécurité au cas où Eurostat révise quelques-uns des chiffres pour cette année.

L'annonce de Tsipras a coïncidé avec la filtration des médias grecs d'un rapport de la Commission européenne (CE) sur les progrès de programme associé au troisième sauvetage jusqu'en juillet de cette année.

Dans le rapport susmentionné, la CE souligne que l'économie grecque "a mieux résisté que prévu dans un environnement difficile, le les objectifs financiers ont été dépassés et des réformes structurelles ont été lancées dans les domaines de la trésorerie, des affaires, de l'énergie, des privatisations et de l'administration publique. "