L'Espagne préconise une "liste grise" des paradis fiscaux en cours de modification

Le chef de l'économie espagnole, Luis de Guindos, a plaidé aujourd'hui que la liste noire des paradis fiscaux développés par l'Union européenne est ajoutée une "liste grise" avec ces juridictions qu'ils améliorent dans l'accomplissement des normes internationales sur l'évasion fiscale.

Bruxelles, le 7 Novembre (EFE) .- Le chef de l'économie espagnole, Luis de Guindos, aujourd'hui a préconisé que la liste noire des paradis fiscaux établie par l'Union européenne ajoutera une « liste grise » les juridictions qui s'améliorent en conformité avec les règles internationales sur l'évasion fiscale.

Le ministre a dit que ce répertoire serait une «liste intermédiaire» qui Cela inclurait «les juridictions qui quittent la non-coopération de toute sorte, à partir de la liste noire, mais qui sont en train de s'adapter à une situation de conformité de les normes. "

De Guindos a pris la parole lors d'une conférence de presse lors de la réunion des ministres de l'économie et des finances de l'UE, au cours de laquelle les Vingt-huit ont discuté sa liste de pays tiers qui ne coopèrent pas en matière d'évasion fiscale, un débat qui arrive à un moment propice après les révélations des "Papiers du Paradis".

Le Ministre L'espagnol a également exhorté à compléter cette liste noire avant la fin de l'année et a souligné la pertinence de la proposition de la Commission européenne d'obliger les intermédiaires financiers, tels que banques, consultants ou avocats, d'informer les autorités fiscales quand ils donnent des conseils qui peuvent aider à échapper à l'impôt.

"Le scandale que nous voyons dans ces derniers jours Il souligne l'importance de la collaboration de ces intermédiaires qui, par le biais de structures directes, contribuent directement ou indirectement à l'évasion fiscale », a déclaré Guindos.

Le ministre, cependant, n'a pas précisé s'il soutiendra la proposition de son collègue français, Bruno Le Maire, qui a annoncé aujourd'hui qu'il proposera à l'UE d'imposer des sanctions sur les paradis et, en particulier, de les exclure de l'accès au financement des organisations internationales telles que le Fonds monétaire international ou la Banque mondiale. De Guindos se limitait à souligner que "Nous sommes toujours en faveur" quand il s'agit de mesures pour lutter contre les juridictions où les taxes sont éludées.

A demandé si Gibraltar pourrait entrer dans la liste noire de paradis fiscaux, le ministre a rappelé que le rocher "est toujours territoire communautaire", mais que lorsque le Royaume-Uni quitte l'Union européenne "sera soumis" aux règles de cette répertoire, qui est limité aux pays tiers, non membres de l'UE.

Sur Andorre, a déclaré que "est en cours d'amélioration."